Lors de la XXXIIIe réunion de la CCAMLR, la Commission a pris note de la discussion du Comité scientifique sur les activités concernant la légine des SSRU 882A–B qui auraient avantage à être plus étroitement associées au stock de la mer de Ross. Elle rappelle qu'en 2013, elle avait mené des discussions sur les motifs d'une révision de la limite entre les sous-zones 88.1 et 88.2. La Commission a également examiné l'avis rendu par le Comité scientifique l'année dernière sur la question (SC-CAMLR-XXXII, paragraphe 3.160). Elle n'a pas été en mesure de donner suite à cet avis en 2013 (CCAMLR-XXXII, paragraphes 5.34 à 5.36), ni même à la réunion de 2014. Elle a encouragé les Membres à poursuivre les travaux sur cette question pendant la période d'intersession, pour qu'elle soit examinée par le Comité scientifique et ses groupes de travail en 2015. Le Comité scientifique a demandé à la Commission d'examiner cette question encore une fois l'année prochaine (SC-CAMLR-XXXIII, paragraphe 3.228).
Abstract:
La biodiversité dans les aires candidates à la protection sur la base des données anciennes des observateurs et des données des campagnes de recherche en mer de Weddell.
Abstract:
L'une des conditions pour désigner des sites candidats à la protection dans la mer de Weddell est le suivi annuel de ces sites par la suite par les navires de recherche et de pêche. Ainsi, la connaissance des changements de dynamique interannuelle et saisonnière des glaces est un facteur fondamental de la réussite des tâches de recherche dans les eaux désignées. L'analyse de la composante navigation est également exigée.
Abstract:
Ce rapport fait le point sur l’application du Traité du 24 novembre 2003 entre la France et l’Australie relatif à la coopération dans les zones maritimes adjacentes aux Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), à l’île Heard et aux îles McDonald ainsi que de son accord de mise en œuvre de 2007. Il synthétise les observations françaises en matière de pêche illicite du 15 juillet 2014 au 15 juillet 2015 concernant les sous-zones statistiques 58.6, 58.5.1, 58.5.2 incluant les ZEE de Crozet, Kerguelen et Heard et Mac Donald, ainsi que les sous-zones statistiques 58.4.3 et 58.4.4, les eaux internationales comprenant les bancs Banzare, Elan, Lena et Ob-Seamount.
Dans les ZEE françaises, où le dispositif de surveillance s’est maintenu sur toute la période, aucune observation d’activité de pêche INN n’a été constatée ou signalée mais du matériel de pêche n’appartenant pas à des navires autorisés y a été retrouvé. Par ailleurs, aucune activité de pêche INN n’a été directement constatée par la France dans les zones internationales susvisées.
A la suite de la circulaire COMM CIRC 15/31 relative à la présence de deux navires inconnus repérés le 20 février 2015 dans la division 58.4.1 par le navire sud-coréen KINGSTAR, la France a informé les membres de la CCAMLR (circulaire COMM CIRC 15/55 du 28 mai 2015) que tout indiquait que l’un des navires correspondait au baleinier japonais YUSHIN MARU.
Lors de la réunion annuelle de la CCAMLR en 2014, sur proposition du SCIC, la France et le Secrétariat ont décidé de mettre en place en 2015 une expérience pilote de six mois de surveillance satellitaire. Au titre de ce partenariat pour renforcer la lutte contre la pêche INN, la contribution en nature de la France consiste à mettre à la disposition du secrétariat à titre gracieux plusieurs prestations, dont l’utilisation de la station de transmission de Kerguelen pour la réception des données satellitaires du banc Elan et à en assurer la transmission.
Le premier semestre 2015 a été marqué par la reprise des patrouilles conjointes menées avec l’Australie. Le patrouilleur australien « OCEAN SHIELD » a ainsi réalisé ses patrouilles avec à son bord deux inspecteurs des pêches français. L’application du Traité et de l’Accord entre la France et l’Australie sera poursuivie en 2017 avec la mise en service de deux nouveaux bâtiments.
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Abstract:
Le WG-EMM a récemment demandé au SC-CAMLR d'envisager d'élaborer une stratégie de communication. Avec l'avènement de la technologie de l'informatique pour les rapporteurs et les Membres permettant de préparer en commun les rapports de réunions, le secrétariat a indiqué qu'il serait possible d'utiliser une approche similaire pour rédiger et adopter les rapports sur des thèmes particuliers, tels que les rapports de pêcheries, et pour les mettre à disposition rapidement. Il est proposé que le Comité scientifique mette au point un ensemble élargi de documents de référence dans le cadre de sa stratégie de communication de l'histoire et de l'état de ses activités scientifiques à la Commission, à la communauté scientifique au sens large et au public. Il est également proposé d'utiliser l'approche basée sur le Web suivie par le secrétariat pour rédiger les rapports de réunions pour mettre au point ces documents de références. Cette proposition ne vise pas à ce que soient rapidement préparés un certain nombre de documents mais plutôt à identifier ceux qui pourraient être utiles et ensuite à fournir des mécanismes qui permettraient aux Membres intéressés et au secrétariat de les mettre au point en fonction du temps et des ressources disponibles.
Abstract:
Ces dernières années, le nombre de sujets que la Commission (et le Comité scientifique) est contrainte de traiter et leur complexité n'ont fait qu'augmenter. En l'absence d'approches planifiées et ciblées pour accorder à ces questions toute l'attention voulue, la CCAMLR a rencontré des difficultés pour tenter d'en régler plusieurs simultanément. Selon l'Australie, étant donné les discussions ayant eu lieu lors du Symposium CCAMLR et les débats plus larges à la Commission et au Comité scientifique, le temps est venu pour la Commission d'envisager des moyens de planifier et d'organiser ses travaux plus efficacement. L'Australie propose que la Commission lance un débat sur la question, notamment en envisageant différentes démarches d'établissement des priorités. À cet effet, l'Australie recommande à la Commission : de reconnaître l'utilité d'une meilleure approche de la planification et de l'organisation des travaux de la Commission ; et d'encourager les Membres à étudier diverses options, notamment des propositions de démarches d'établissement des priorités, en vue d'un accord lors de la XXXVe réunion de la CCAMLR.